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chambre, où je paſſai avec lui tout
le tems que je pus voler au
pauvre Belval, qui fut traité
comme après l’aventure du paravent,
c’eſt-à-dire, qu’afin de détourner ſes
ſoupçons ſur mes abſences, je le
comblai de feintes careſſes, & le
plongeai dans une mer de volupté,
ce qui me coûtoit d’autant moins,
que lorſqu’il me le mettoit, ou je
ſortois des bras de Luberſac, ou
j’allois y retourner ; dans ces deux
cas l’imagination y étoit allumée, &
mon lord pot-au-feu, qui croyoit devoir
répondre à mes prévenances ;
me procuroit des plaiſirs qui, s’ils
n’étoient pas très-vifs, pouvoient au
moins faire nombre.
Dès que je fus informée que mon jeune Céſar étoit entré, je ne le
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