Page:La Chanson de la croisade contre les Albigeois, 1875, tome 2.djvu/649

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
517
additions et corrections.

4496, a[n], l. a.

4507, suppr. la note. — Ch.

4534, els armas, corr. las a ?

4535, suppr. la note.

4560, Mos, corr. Vos ?

4589, tolirol, l. tolirol[s].

4602, nous, l. nons.

4603, aviom (sic ms.), corr. aviam ; cf. 3935, note. — Ch.

4714, sopartig, l. so partig.

4616, dans la note du v. 4616, lire Limoux au lieu de Limours.

4727, suppr. la note.

4758, lissa, l. Lissa.

4883, petit, l. petita.

4911, bendas a venal, l. benda savenal ; cf. le vocab., savenal.

4989, suppr. la note. — Ch.

5002, 5011, 5317, 7880, 8298, dans ces vers, M. Chabaneau considère les finales de mandessatz, eratz, fossatz, aguessatz, laissesam, comme atones, ce qui est à la rigueur admissible, et par suite les corrections proposées en note seraient à supprimer ; de même mescabavam, 4992, et dans la première partie du poème, dicheratz, 1839, aguessatz, 2378 ; dans les autres exemples cités comme analogues par M. Ch., la finale est en ia, ce qui est un cas tout différent. Au v. 3903, également cité (p.-ê. est-ce une erreur de chiffre), l’hémistiche étant De tot can que fassatz, il faut au contraire que la finale soit accentuée. Au v. 3977, auziras peut être la 2e pers. du sing., quoiqu’il y ait plus de probabilité en faveur de la 2e du plur. (régulièrement auziratz).

5189, borc, l. Borc.

5208, fe[s], l. fe. — Ch.

5227, mettre un point et virgule à la fin de ce vers, et une virgule à la fin du suivant. — Ch.

5237, comte, rétablir la leçon du ms., coms.

5249, mettre une virgule à la fin du vers.

5291, devan, l. denan.

5386, talhetz, que propose M. Ch., serait certainement plus régulier que talhatz, mais il ne manque pas d’exemples de la forme de l’indicatif employée au subj. dans la première conjugaison ; voir ci-après la remarque sur le v. 6100.

5388, cf. la correction faite au v. 3887.

5469, suppr. la note. — Ch.

5518, rétablir la leçon du ms. om sia, le groupe ia pouvant dans ce texte ne compter que pour une syllabe. — Ch.