Page:La Croix du Maine - Du Verdier - Les Bibliothèques françoises, t. 1, 1772.djvu/8

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la France. J’ose espérer, SIRE, que vous daignerez approuver mon hommage, quand vous honorez de la protection la plus éclatante les Sciences & les Lettres, & que vous distinguez par les grâces les plus flatteutes ceux qui les cultivent pour la gloire de votre règne. En applaudissant à leurs travaux, la Postérité admirera, comme eux, les vertus douces & bienfaisantes de Votre Majesté, & leur enviera le bonheur d’avoir vécu sous un Monarque adoré & le plus digne de l’être.

Je suis avec un très-profond respect,

SIRE,
DE VOTRE MAJESTÉ,
Le très-humble & très-obéissant Serviteur
& fidèle Sujet, RIGOLEY DE JUVIGNY.