Page:La Fare - Mémoires de Madame la Comtesse de la Bouquetière de Saint-Mars, 1884.djvu/103

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de si bien conservé a droit de m’étonner ; avec vos principes sur la noblesse, vous devriez les brûler. » Le comte sentit l’épigramme et nous reconduisit dans son salon, et il ne fut plus question de notre malheureuse Révolution.

Je revins à Lintz de ma courte émigration, qui n’avait pas duré plus d’un mois. Je pris un autre logement. Le comte de Caraccioli étant revenu malade rejoindre sa femme, ma chambre lui était nécessaire.