Page:La Fayette, Tencin, Fontaines - Œuvres complètes, Lepetit, 1820, tome 2.djvu/536

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lance, sans qu’ils se puissent dire à eux-mêmes quelle marque vous leur avez donnée de l’une et de l’autre. Enfin vous avez reçu des grâces du ciel, qui n’ont jamais été données qu’à vous ; et le monde vous est obligé de lui être venu montrer mille agréables qualités qui, jusqu’ici, lui avaient été inconnues. Je ne veux point m’embarquer à vous les dépeindre toutes ; car je romprais le dessein que j’ai de ne vous pas accabler de louanges, et de plus, madame, pour vous en donner qui fussent

Dignes de vous et de paraître,
Il faudrait être votre amant,
Et je n’ai pas l’honneur de l’être[1].


fin des œuvres de madame de la fayette.
  1. Derniers vers de la pompe funèbre de Voiture, par Sarrazin.