Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/124

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ſentoit pour elle une inclination violente, qui luy donnoit cette douceur & cet enjoüement qu’inſpirent les premiers deſirs de plaire, il eſtoit encore plus aimable qu’il n’avoit accoûtumé de l’eſtre. De ſorte que ſe voyant ſouvent, & ſe voyant l’un & l’autre ce qu’il y avoit de plus parfait à la Cour, il eſtoit difficile qu’ils ne ſe pluſſent infiniment.

La Ducheſſe de Valentinois eſtoit de toutes les parties de plaiſir, & le Roy