Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/151

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rer le Roy ſur ſa conduite, ont pery dans cette entrepriſe. Le Comte de Taix, Grand Maiſtre de l’Artillerie, qui ne l’aimoit pas, ne pût s’empêcher de parler de ſes galanteries, & ſur tout de celle du Comte de Briſſac, dont le Roy avoit déjà eu beaucoup de jalouſie : Neanmoins elle fit ſi bien, que le Comte de Taix fut diſgracié, on luy oſta ſa Charge ; & ce qui eſt preſque incroyable, elle