Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/200

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

pêcher d’eſtre troublée de ſa veuë, & d’avoir pourtant du plaiſir à le voir ; mais quand elle ne le voyoit plus, & qu’elle penſoit que ce charme qu’elle trouvoit dans ſa veuë, eſtoit le commencement des paſſions, il s’en falloit peu qu’elle ne cruſt le haïr par la douleur que luy donnoit cette pensée.

Madame de Chartres empira ſi conſiderablement, que l’on commença à deſeſperer de