Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/205

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ce ſeroit de vous voir tomber comme les autres femmes : mais ſi ce mal-heur vous doit arriver, je reçois la mort avec joye, pour n’en eſtre pas le témoin.

Madame de Cleves fondoit en larmes ſur la main de ſa mere, qu’elle tenoit ſerrée entre les ſiennes, & Madame de Chartres ſe ſentant touchée elle-même : Adieu, ma fille luy dit-elle, finiſſons une converſation qui nous attendrit