Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/70

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luy faire confidence de toutes les galanteries qu’on luy diroit, & elle luy promit de luy aider à ſe conduire dans des choſes où l’on eſtoit ſouvent embaraſſée quand on étoit jeune.

Le Chevalier de Guiſe fit tellement paroître les ſentimens & les deſſeins qu’il avoit pour Mademoiſelle de Chartres, qu’ils ne furent ignorez de perſonne. Il ne voyoit neanmoins que de l’impoſſibilité dans ce qu’il déſiroit ;