Aller au contenu

Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/133

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

revenu ; qu’elle ne craignoit plus l’affaire d’Angleterre ; qu’elle n’avoit plus de ſoupçons ſur madame la dauphine ; qu’enfin il n’y avoit plus rien qui la pût défendre, & qu’il n’y avoit de sûreté pour elle qu’en s’éloignant. Mais comme elle n’eſtoit pas maîtreſſe de s’éloigner, elle ſe trouvoit dans une grande extrémité & preſte à tomber dans