Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/142

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touchez ; que les aſſaillants ſeroient tenus de faire apporter par un gentilhomme leur écu, avec leurs armes, pour le pendre au perron trois jours avant le commencement du tournoi ; qu’autrement, ils n’y ſeroient point reçus ſans le congé des tenants.

On fit faire une grande lice proche de la Baſtille, qui venoit du chateau des Tournelles, qui traverſçoit la rue Saint-Antoine, & qui alloit ſe