Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/158

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avoir laiſſé paraître au chevalier de Guiſe. Elle en avoit auſſi beaucoup que monſieur de Nemours les connût ; mais cette dernière douleur n’eſtoit pas ſi entière, & elle eſtoit meſlée de quelque ſorte de douceur.

La Reine dauphine, qui avoit une extreſme impatience de ſavoir ce qu’il y avoit dans la lettre que Chatelart luy avoit donnée, s’approcha de madame de Clèves : —