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Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/190

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reprit monſieur de Nemours en ſouriant, pour me faire une pareille propoſition, & pour vous imaginer qu’il n’y oit perſonne avec qui je me puiſſe brouiller en laiſſant croire que je reçois de pareilles lettres.

— Je vous prie, dit le vidame, écoutez-moi ſérieuſement. Si vous avez une maîtreſſe, comme je n’en doute point, quoyque je ne ſache pas qui elle eſt, il vous ſera aiſé de vous juſtifier, & je vous en donnerai