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Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/211

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parle ſincèrement, Madame, luy répondis-je, que je n’ay rien à vous dire ; & je jure à Votre Majeſté, avec tout le reſpect que je luy dois, que je n’ay d’attachement pour aucune femme de la cour.

— Je le veux croire, repartit la Reine, parce que je le ſouhaite ; & je le ſouhaite, parce que je déſire que vous ſoyez entièrement attaché à moy, & qu’il ſeroit impoſſible que je fuſſe