Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/214

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plus d’application que vous-meſme, et, quoy que je faſſe pour vous, je m’en tiendrai trop bien récompenſée, ſi je vous trouve pour moy tel que je l’eſpère. Je vous choiſis pour vous confier tous mes chagrins, & pour m’aider à les adoucir. Vous pouvez juger qu’ils ne ſont pas médiocres. Je ſouffre en apparence, ſans beaucoup de peine, l’attachement