Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/217

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pieds, tant je fus véritablement touché de la bonté qu’elle me témoignait. Depuis ce jour-là, elle eut en moy une entière confiance, elle ne fit plus rien ſans m’en parler, & j’ay conſervé une liaiſon qui dure encore. »