Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/39

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avoit commencé à aimer Madame de Tournon, eſt préciſement celuy où elle m’a paru changée ; mais un moment aprés je l’ay crû un menteur, ou du moins un viſionnaire : J’ay eſté preſt à le luy dire, j’ay paſſé enſuite à vouloir m’éclaircir, je l’ay queſtionné, je luy ay fait paroiſtre des doutes : Enfin j’ay tant fait pour m’aſſeurer de mon malheur, qu’il m’a demandé ſi je connoiſſois l’écriture de Madame de Tour-