Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/41

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d’y trouver quelque choſe qui ne me perſuaderoit pas tout ce qu’Eſtouteville venoit de me dire. Mais helas ! que n’y ay-je point trouvé ? Quelle tendreſſe, quels ſermens, quelles aſſeurances de l’épouſer, quelles Lettres ? Jamais elle ne m’en a écrit de ſemblables. Ainſi, ajoûta-t-il, j’éprouve à la fois la douleur de la mort & celle de l’infidelité : ce ſont deux maux que l’on a ſouvent comparez, mais qui n’ont ja-