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Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/64

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& le trouble qui s’éleva dans ſon ame. Si Madame la Dauphine l’euſt regardée avec attention, elle euſt aisément remarqué que les choſes qu’elle venoit de dire, ne luy eſtoient pas indifferentes ; mais comme elle n’avoit aucun ſoupçon de la verité, elle continua de parler, ſans y faire de reflexion. Monſieur d’Anville, ajoûta-t-elle, qui comme je vous viens de dire, m’a appris tout ce détail, m’en