Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/128

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faire choiſir quelque autre.

— Ce n’eſt pas la gloire, Madame, reprit monſieur de Clèves, qui vous foit appréhender que monſieur de Nemours ne vienne avec moi. Le chagrin que vous en avez vient d’une autre cauſe. Ce chagrin m’apprend ce que j’aurais appris d’une autre femme, par la joie qu’elle en auroit eue. Mais ne craignez point ; ce que je viens de vous dire n’eſt pas véritable, & je l’ai inventé