Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/14

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rien qu’elle n’ait lieu de penſer, & il n’y a rien que je ne doive craindre de ſes penſées. Ajoutez à cela que je ſuis vivement touché de madame de Martigues ; qu’aſſurément madame la dauphine luy montrera cette lettre qu’elle croira écrite depuis peu ; ainſi je ſerai également brouillé, & avec la perſonne du monde que j’aime le plus, & avec la perſonne du monde que je dois le plus craindre.