Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/152

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dit-il, que je puis penſer ſans témérité, que vous parliez de moy quand je ſuis entré, que vous aviez deſſein de me demander quelque choſe, & que madame de Clèves s’y oppoſe.

— Il eſt vrai, répondit madame la dauphine ; mais je n’aurai pas pour elle la complaiſance que j’ai accoutumé d’avoir. Je veux ſavoir de vous ſi une hiſtoire que l’on m’a contée eſt véritable, & ſi vous n’eſtes pas celuy qui eſtes amoureux, & aimé d’