Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/154

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Le diſcours de madame la dauphine, dont il avoit eu lieu de croire qu’il n’étoit pas haï, en préſence de madame de Clèves, qui étoit la perſonne de la cour en qui elle avoit le plus de confiance, & qui en avoit auſſi le plus en elle, luy donnoit une ſi grande confuſion de penſées bizarres, qu’il luy fut impoſſible d’eſtre maître de ſon viſage. L’embarras où il voyoit madame de Clèves par ſa faute, & la penſée