Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/169

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Ce ne peut eſtre que cette ſeule curioſité qui vous ait foit faire une ſi cruelle imprudence, les ſuites en ſont auſſi facheuſes qu’elles pouvaient l’eſtre. Cette aventure eſt ſue, & on me la vient de conter, ne ſachant pas que j’y euſſe le principal intéreſt.

— Que me dites-vous, Madame ? luy répondit-il. Vous m’accuſez d’avoir conté ce qui s’eſt paſſé entre vous & moi, & vous m’apprenez que la choſe eſt ſue ?