Aller au contenu

Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/176

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

par l’un des deux. Mais ce qui luy cauſçait une douleur violente, étoit de ſavoir que ce ſecret étoit entre les mains de quelqu’un, & qu’apparemment il ſeroit bientoſt divulgué.

Madame de Clèves penſçait à peu près les meſmes choſes, elle trouvoit également impoſſible que ſon mari eût parlé, & qu’il n’eût pas parlé. Ce qu’avoit dit monſieur