Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/179

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femme qu’il adorait, touchée de paſſion pour un autre. Il ne luy reſtoit plus de courage ; il croyoit meſme n’en devoir pas trouver dans une choſe où ſa gloire & ſon honneur étaient ſi vivement bleſſez. Il ne ſavoit plus que penſer de ſa femme ; il ne voyoit plus quelle conduite il luy devoit faire prendre, ni comment il ſe devoit conduire luy-meſme ; & il ne trouvoit de tous coſtez que