Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/181

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que l’on avoit contée étoit une fable où elle n’avoit aucune part ; qu’il dépendoit d’elle de le perſuader à monſieur de Nemours & aux autres ; qu’elle n’avoit qu’à agir avec luy, avec la ſévérité & la froideur qu’elle devoit avoir pour un homme qui luy témoignoit de l’amour ; que par ce procédé elle luy oſteroit aiſément l’opinion qu’elle eût de l’inclination pour luy ; qu’ainſi, il ne falloit point s’affliger de tout