Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/194

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choſes. L’envie de parler à madame de Clèves luy venoit toujours dans l’eſprit. Il ſongea à en trouver les moyens, il penſa à luy écrire ; mais enfin, il trouva qu’après la faute qu’il avoit faite, & de l’humeur dont elle était, le mieux qu’il pût faire étoit de luy témoigner un profond reſpect par ſon affliction & par ſon ſilence, de luy faire voir meſme qu’il n’oſçait ſe préſenter devant elle, & d’attendre