Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/208

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carrière.

Sur le ſoyr, comme tout étoit preſque fini & que l’on étoit près de ſe retirer, le malheur de l’État fit que le roi voulut encore rompre une lance. Il manda au comte de Montgomery qui étoit extreſmement adroit, qu’il ſe mît ſur la lice. Le comte ſupplia le roi de l’en diſpenſer, & allégua toutes les excuſes dont il put s’aviſer, mais le roi quaſi en colère, luy fit dire qu’il le vouloit abſolument. La reine