Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/219

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

commençaient à marcher, elle ſe recula de quelques pas, & dit à la reine ſa belle-fille, que c’étoit à elle à paſſer la première ; mais il fut aiſé de voir qu’il y avoit plus d’aigreur que de bienſéance dans ce compliment.