Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/38

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tout ce qu’il venoit d’apprendre du vidame. Quoique ce fuſſent des choſes propres à donner de l’étonnement, & à eſtre écoutées avec attention, madame de Clèves les entendit avec une froideur ſi grande qu’il ſembloit qu’elle ne les crût pas véritables, ou qu’elles luy fuſſent indifférentes. Son eſprit demeura dans cette ſituation, juſqu’à ce que monſieur de Nemours luy parlat