Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/157

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— Il eſt vrai, luy dit-elle, que je veux bien que vous le ſachiez, & que je trouve de la douceur à vous le dire. Je ne ſais meſme ſi je ne vous le dis point, plus pour l’amour de moy que pour l’amour de vous. Car enfin cet aveu n’aura point de ſuite, & je ſuivrai les règles auſtères que mon devoir m’impoſe.

— Vous n’y ſongez pas, Madame, répondit monſieur de Nemours ; il n’y a plus de devoir qui vous lie, vous eſtes