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Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/163

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jamais trouvées au degré qu’elles ſont en vous. Tous ceux qui épouſent des maîtreſſes dont ils ſont aimez, tremblent en les épouſant, & regardent avec crainte, par rapport aux autres, la conduite qu’elles ont eue avec eux ; mais en vous, Madame, rien n’eſt à craindre, & on ne trouve que des ſujets d’admiration. N’aurais-je enviſagé, dis-je, une ſi grande félicyté, que pour vous y voir apporter vous-meſme des obſtacles ? Ah ! Madame, vous oubliez que vous m’avez diſtingué