Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/197

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du coſté de ſon repos. La fin de l’amour de ce prince, & les maux de la jalouſie qu’elle croyoit infaillibles dans un mariage, luy montraient un malheur certain où elle s’alloit jeter ; mais elle voyoit auſſi qu’elle entreprenoit une choſe impoſſible, que de réſiſter en préſence au plus aimable homme du monde, qu’elle aimoit & dont elle étoit aimée, & de luy réſiſter ſur