Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/42

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cabinet, ou ſous le pavillon, & ne venaient point à elle qu’elle ne les appelat. Madame de Martigues n’avoit jamais vu Coulommiers ; elle fut ſurpriſe de toutes les beautez qu’elle y trouva & ſurtout de l’agrément de ce pavillon. Madame de Clèves & elle y paſſaient tous les ſoyrs. La liberté de ſe trouver ſeules, la nuit, dans le plus beau lieu du monde, ne laiſſçait