Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/90

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avec madame de Mercœur.

— C’eſt aſſez, répliqua monſieur de Clèves, c’eſt aſſez, en luy faiſant encore ſigne de ſe retirer, & je n’ai pas beſoin d’un plus grand éclairciſſement.

Le gentilhomme fut contraint de laiſſer ſon maître abandonné à ſon déſeſpoir. Il n’y en a peut-eſtre jamais eu un plus violent, & peu d’hommes d’un auſſi grand courage & d’un cœur auſſi paſſionné que monſieur de Clèves