Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/204

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Luy rendit ses cheveux avec ses autres charmes :
Lors que les jours sont inconstans,
Elle n’est jamais sans alarmes.

Aprés ces paroles, elle alla jusques dans l’Alcove presenter aux juges la toile. qu’elle’ : tenot-46ploy&, et Iur dit ue c’estoie Pbmraitd*Hmesie’ qu’elle avot it depuis uelques m6is. : IIs eff’demeurerent estonnez et ettanta veua’snr Horteie’, ils I tourn rent ensuite su sa peintue. . La.meilleU.part’e de ses,graces y scmblot teinte ; il. n’y av’0it ny res, ny tys sur son teint ; -tqu’t y estolt ; la’,gisn et & demy mo ; on ne voyoit que de la : neige’ ei de gla,ons on avoit vfi les plus rissant’eg mhn’d I fiunesse Les juges aurdient soupfin’. ia’fideiit.du-Ponraii s’ils ne se ssenf s0uVenus ’davoi ? veu Ho ? tesie en cet estat-I& Chacun.commen,a fie d0uter qu’oh youlilt aceorder le prix. unebeaut : si frtle ’t’si ’1ohrnaliere, ellmesme aband0nna. propr dfense ; ’ et’ne sceut’ qpe rpondre’sur ee repr&h6 Si bi : qUAPellanire en retournot toute tnomphante,- lots que Palauane hy dit : N’insultez point fi une beaut qui craint tout, lee : que.Vous dits : .si die la. ; t toas’les.ans ; 11e reprend aussi tbns I gns de : uuvell forces

vo, : .’qu’esti[ deur de’s’on[ falt’ auoi 

vos.Aplles ’et.vos Zeals ; ’que le-nom’de’leuis’ ouvres et les choses. : inroyab(i, : e In : en dit ? Le miens. vient. pl & fiedes ’que v6es ? e’au : roient vire d’annes : Ap’pellnire n s’onna polut, et se douta bi 4ui Pahtiane elt’2megme, se verroi bien-st confondu6 ; .cela ne’manua s"d rivr..

Ce fur par-Catliopée.
Montrez-moy (dit cette Fée)
Quelque chose de plus vieux
Que la Chronique immortelle
De ces murs pour qui les Dieux
Eurent dix ans de querelle.