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Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/289

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LETRE. 28’ en a une de 400 liv., du 2 septembre 616, dont il n’estpoint. fait mention dans et peut tre impute-t-elle cela sur les arr&aes p ecedent la dermre mttance de I7, dont e vous envoye cop, e : ear mon pete n etot pas encore mort,. et possible vez-vous payS, en son ac.uit, ces 4oo Hv. pour les arrgrages de la rente ; car fl roesourent qu environ ce temps vous fourrotes quelque argent pour luiA’Paris,. qu’il rendit A Jeanne’Brayer. Vous n’avez qu A voit les termes de cette quittanc de 400 liv. : le m&onte  ! entauss’ de ce,que ie nq ? putoi pas les soreroes donnees sur les arrerages precedents fait b.. fait qu’Mles ont gt donnes, mais ie faisois un gro. s.de tous ces arr&ages iusqu’A present, et : e le dmso,s sur les soreroes donnges et sur cela ma sour pourroit bien avoir raison ; mais dans son mmoire il y’a une ereur de 4o liv. ou nvi(on, que"aimar u& A la mar e C’est our uoi la chose 1.. .q g.p q vaut en la peme que vous fasmez catculer le tout sur une table i’int4rt : je n’en ai point en ce pays-ci. Je ne puis aller & Paris de plus d’un mois, et ne y cros nullement necessmre : levous ecns de Rtiems, oh vo,s ett.res m’ont t envoyees..le serai dans trois ou quatre louts & Chafiry..Ma sceur me mande qa’elle a fort affm-e d’argent ; cest vous de prendre votre commodit& LX ? R VII. AU MIM E. A Charity, ce er fvrier MONSIEUR MON ONcLE, Ce qu’on vous a mand de l’emprunt et du jeu est trs faux’ : si vous ]’avez creu, il me semble que vous