Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/394

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90 LETTP, I. Angleterre. J’avols fait aussi dessein de convertir Madame d’Hervart Madame de Gouvernet et Madame d’Helang parceque ce sont des personnes que i’honore : mais on tara dit que ie ne trouverols.pas les su-. jets incore.assez dispos’ez. Or, ie ne suis bon non. plus que Perfin Dandin, que quarid les parties sont lasses de comesterO). Une chose que je souhaiterois avant toutes, ce seroit que l’on me procurast l’honneur de faire la reverence au Monarq. ue, mais je ne l’oserois esperer. C’est un Prince qm merite qu’on passe la Met afin de le vol G taut il a.de qualitez c0nvenables

un ouverain, et de veritables passions.pourla gl6ire. 

I1 n’y en a 9as beaucoup qui y tendent, quoy que tous le dfissent faire en ces places-l& Ce n’est I)as un vain hantOme O_ue la gloire et la grandeuG Et STuA’RD en son,Royaum’e Y court avec plus d ardent O…u’ un Amati & sa Maistresse. Ennemy de la mollesse, I1 gonverne son État Et[ habile Pqtentat. De eette haute science L’Original est en France. ’ Jamats on n’ a veu de Roy Qui sust mieux se rendre Miistre, Fort souvent jnsques tt l’ estre Encore aliicurs q’ne chez soy. L ’Art est beau mais toutes Testes N’ ont pas droit de l’ exercer : LouIs a s’y tracer Un chemin par ses Conquestes On trauvera ses lefons Chlleux qu !,feront l’Histoire : J’en lttisse c d autres la globe, Et reviens roes moutons, I. Voyez Rabelais, liv.