95 L, ETT RES. Hottense cut du Cid en partage La grace, la beautt, 1 esprit, cen est pas tout : Les qualttez du eur, cen est pus tout ncore Pour mille autres appas le [nonde entier’ ? ado)e. Depuis fun ]usq’u' l’autre bout. ’ L’An leterre en ce oint le dis ate a. la France g. Vdtre Heroine ren7nos deux euples Rivaux. 0 ,ous, ’le Chef de ses depots, ’ ' De ses d&ots, route outrenee, Faites, nous l’Eloge. d’Hortense ! de pourrois en charger [e Dieu du double Moat Mats jsaitne mienx int-Eremont. Que direz-vous d’.nn dessein qui m’est renu dans 1 esprit. Pmsste vousvoMez que]a glore de Maclame Mazarin remphsse tout J’univers, et qae ie voudrois que…ceUe de Madame de Bouillon a ! ld. st iu-delh, ne dormon ni vous i mo ique nous n’aons mis fin une si belle entreprise. Faisons-nons Chevaliers de la Table Ronde ; anssi bien est-ce en Angleterr, e cette Che,alerie a commenc Noas aarons deux Tentes en nostre Eqnipage et au haut de ces deux Tentes les deux Por{tais des Divinitez que nous adorons. Au passage d’art Pout, oa nr te bord d’un Bols, Nos Herants publicrout ce Ban a haute voix’ : ARIANNE SANS PAIR HORTENSE SANS SEGONDE VEULENT LES CtUR’S DE TOUT LE M..OMP’.E Si ,ous en estes crt, lepa,,rti le plus fort Panchera du cosri d Hortense ; Si l’ on m’ en croit aussi, Maria.nne d’apord ’ Doitfair incliner la kaIance. Hortense pu Mariahue, il faut y venir Je nen iay poine de si p : rofa.e Qui, d Hortense vitant les coups Ne cede ceux d Marianne. II nous faudra prier Monsieur l’Ambassadeur Que, sans gard nostre ardeur
