.{e me contenteray done de parler d’une tapisser,e relev&e d’or, laquelle on fit remarquer principalement
Psich& non tan(pour l’ouvrage, quoy qu’il fust
r.are,. que pour le suiet. La tentare estoit composde de slx pieces. Dans la premiere on voyoit un Chaos, Masse confuse, et de q,i l’ assemblage Faisoit later, coat,re l’ orgueil des flots, Des Tourbilious due fl ! me volage. Non loin de l&, dans un roesroe monceau, L’air gemissoitsous le poids de la terre : Ainsi ? e fe. u, Tair, la terre, avec l’ eau, Entretenment une cradle guerre. Q.e fait l’A mour ? volant de bout en bout, Ce ]eune enfant, sans beaucoup de mystere, En badJaunt vous dlbrokille le tout Mille lois mieux qu’un Sage n’eustsceu faire. Dans la seconde un Cclope amoureax, PotiFIaire aux yeux d’une NymFhejolie, e Mmesloit la barbe et les cheveux, Ce qu’il n’avoit encor fait de sa vie. .Ense mouant la N,ytnphe s’enfu ? oit : ’Amour Fattalnt, et t on voyoit la Belle, Oi, dans un bois, le Cclope prioit Qai l’ excuast d’avoir estd rebelle. ’ Dans la troisime, Cupidon.par0issoit assis surun char tir par des Tigres.. Derriere ce char nn petit Amour menoit en lesse quatre grands Dieux, lupiter, Hercule Mars t Piuto’n ; tandis que. d’autres- e-nfans les chassoient et les faisoient marcher t lear fantaisle, La quatrime et la cinqaime tepresentoi’ent en d’autres manieres la puissance de upidon ; ..et dans h sixim ce Die luoy qu"il eust suiet d’estre tier des