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Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/448

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444 LETTRES. que tu re ; oives ce billet, les portes de l’ternit seront peut-tre ouvertes pour moi. o fvrier LETTRIg XLV (). RIPONSE DE M. DE MAUCROIX. 14 fvrier Mon cher ami, la douleur que ta dernitre lettre me cause est telle que tu te la dois imaginer. Mais en m&me temps ie te dirai que i’ai bien de la consolation des dispbsitions Chr’&tienes oh je te vois’ trs-che G les plusustes ont besoin de a mis&r ; corde de Dieu. Pr&’ns-y aonc une enti&re confiance, et souviens-toi qu’il s’appelle le Pre des misericordes et le Dieu de route consolation. Invoque-le de tout ton coeur. Q’est-ce qu’une v&ritable contrition ne peutobtenir ae cette bont infinie ? Si Dieu te fait la grace de te renvo ! e.r la sant,. i’espre que tu viendras passer avec mol les restes de ta vi et souvent nous parlerons ensemble des mis&icordes d Dieu Cenendan* s tun aspas la force de m ecnre, pne M. Racine de me renare cet office de charit&, le olus erand au’il e pmsse lamas rendre. Ad : eu, mon bon, mon ancen et mon v&ritable ami. Qe Dieu par sa tr&sgrande bont&, prenne soin de la sant de ton corps et de celle de ton ame. . Publite pour 1 premi&re fois dans les OEttvres posthuroes de Maucroix, page 47. FIN DU TOME 111.