ACT?. II? SC?N?. IV. Apres cette ?1oire supreme, Sije ne meurs de plaisiret d'amon G Je merite que Poliph?me A son riva[ 6te [eiour Aux yeux de sa maltresse m?me. GALATP, E. . Berger, vous prodlguez mon bien; V6tre vie est ? moy: cherchez queklue ret?f?ite Q?i de nos feux ne dise rifin ;- ' � _?elque grotte sourde et muette: Galat?e, Hymen,' et l'Amour, S'y rendrout sur la fin du jour Par la route la plus secrete. Cependant je prieray le sort Qfil vous accorde l'ambrosie. Ne la m6prisez plus si fort: Elle vous 6tera la crainte de la mot% Sans qu'il vous'en coate la vie. J'ay d6couvert & mort pete nos feux: I1 y consent; il veut ce queje veux. Le voila qui sort de son onde. Peut-?tre & nos desits a-t-il d6ia pouryen, Et d?]a du s6rt obtenu Ce qu'il refuse A tout le monde. ?Mais q,ue ne fa!t-on point,pour les filles des Dieux: t. epenaant gardez-vous d approcher ce rivage; Allez; et vous ?, Timandre, arrachez-le aces lieux S? vous m.'aimez, s'il m'aime, arr6tez son courage. le vous confie Acis, con?ervez-moy ce gage; Je n'ay rien de plus pr6cieux.
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