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Scène VIII
Madame Bouvillon, Le Destin
Ragotin
criant derrière le théâtre.
Arrête, arrête, infâme !
Madame Bouvillon
.
Qu’entends-je ? À quel malheur le sort nous a livrés !
C’est La Baguenaudière.
Ragotin
frappant à la porte.
Ouvrez la porte, ouvrez.
Madame Bouvillon
au Destin.
Ouvrez tôt.
Le Destin
s’embarrassant dans les jupes de madame Bouvillon, tombe.
J’y cours. Ah ! J’ai la jambe rompue.
Madame Bouvillon
ouvrant elle-même, ragotin pousse la porte rudement contre elle.
Ouvrons nous-même. Ah, ciel ! J’ai la tête fendue.
Ragotin
entrant brusquement, rencontre les pieds du Destin, qui le font tomber. Il a une grande épée, une bandoulière où pend un mousqueton, et des bottes retroussées jusqu’aux cuisses.
Eh ? Vite, où me cacher ? Ah ! J’ai le nez cassé.
Madame Bouvillon
.Ah ! La tête.
Le Destin