rancune|c}}
Il faut que, cette nuit, rempli de vin sans eau,
Quelque chose vous ait barbouillé le cerveau.
Croyez-moi, rappelez votre réminiscence :
Et, prenant vos habits, couvrez votre indécence :
Vous vous souviendrez mieux étant rassis.
Point, point.
Mais que vois-je ? Aurait-on rétréci mon pourpoint ?
Ou mon corps serait-il plus gros qu’à l’ordinaire ?
La rancune, est-il point remployé par derrière ?
Non.
Il est d’un bon pied par-devant trop étroit :
D’où vient ?
J’ai peur d’avoir touché la chose au doigt,
Et que vous ne soyez malade.
Moi, malade !
Hélas !
Cette grosseur encor le persuade.
Mettez le haut-de-chausse, on verra.
C’est bien pis.
Ne vous trompez-vous point ? Sont-ce là vos habits ?
Ce sont eux. Quelle enflure ! Ah ! J’ai l’âme saisie,
La rancune ; et d’où vient cela ?
{{Personnage|La rancun