Cette page n’a pas encore été corrigée
Scène III
La rancune, à Ragotin qui s’en va
Au moins vous me devez un écu, songez-y.
Je vois venir l’étoile, et son frère avec elle :
De bien près, ce me semble, il obsède Isabelle.
Serait-il assez fou pour oser l’enlever ?
Tout aujourd’hui de près je la veux observer.
Scène IV
L’Etoile, Le Destin
L’Etoile
Oui, je n’ai feint tantôt que je m’étais blessée,
Qu’afin qu’en se rangeant dans ma chambre, emressée,
Madame Bouvillon m’expliquât en effet
Tout ce qu’elle pensait de vous et du billet.
Heureusement, vous dis-je, elle l’a pris pour elle ;
Elle vous cherche.
Le Destin
Isabelle
Tantôt, sans Bouvillon, j’eusse été loin de vous.
Ses coups, que j’imputais à son dépit jaloux
De voir entre mes mains l’objet qui sait lui plaire,
M’ont fait…
L’Etoile
Songez à vous, je vois venir sa mère.