BERTRAND. Ventredi?é ! vous me feriez enrager. Est-ce que je ne sç?avons pa?s bien ce que je sça?vons ?
LUCINDE. Fais-moi parler à ce jeune homme que tu dis qui est son fils ; je le toucherai, je m'ass?ure? et je ne doute point qu’il ne fasse ?quelque chose aupre?s de son Pere en notre faveur.
BERTRAND. H?é bie?n ! hé bien ! ne voila-t-il pas Palsangoi ! n’an dit bian vrai, qu’il n’?y a rian de si dur que la tête d’une femme. Ne vous ai-je pas dit, cervelle ignorante, que ce Fils est le Tu Autem du sujet pourquoi on regoit ici les Femmes comme un chien dans un jeu de quilles ; que ?le Pere ne veut point que le Fils en voye aucune ; que le Fils n’en connoît non plus que s’il n’y en avoit point au monde? et qu’il ne s?ait pas seulement comme on les appelle ; que le Pere, sottement? lui apprend tout cela ; que le Fils croit tout cela sottement, et que... que... Que Diable ! ne vous ai-je pas dit tout cela ?
PERRETTE. Hé bien ! oüi ; mais d’où vient qu’il ne veut pas que son fils connoisse des Femmes ? Est-ce une si mauvaise connoissance ?
BERTRAND. D’où vient... d’où vient... Eh ! l'esprit bouché ? , ne ?vous souvient-il as que, de?fil P.. . () .? , P . , � ragtulle, le vous at conte que le Per_e.ava}t 6pomeSuric femme qui en sgavoit bien long ? �t qi?e pour erap6dh’er cm’il (:).n’alt comme li’le re&me malancombre qu’il’a In. comme hen d autres? .d a lure son grand uron que jamais Femme ne seroit de ri’en ? ce Fils? Et voili ce qui fait iustement que... Mais?, ?ve?ntreguienne ! que de babil ! est-ce que vous ne voulez donc pas vous taire, et me tourner les talons ?
LUCINDE, lui donnant de l’argent. Mon ami ! mon pauvre ami !
BERTRAND. Mon ami, mon pauvre ami !.. Jarnigué !
1. Var.: Eh ! esprit bouché.
z. Var.: que son fils.