Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/362

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PERRETTE. Eh ! oui, oui, vous autres grosses Dames vous n’allez point tout d’abord à la franquette: vous faites touiours semblant de vous déguiser les choses: pour moi je n’y entends point tant de fa?çons; et quand Thi?bau?t ?me prit la main? pour la premiere fois pour danser, qu’il me la serrit de toute sa force, je devinai tout du premier coup c’en que chela vouloit dire... Mais qu’entens-je (1) ?

SCENE III.

THIBAUT, LUCINDE, PERRETTE.

THI?BAUT, clerri?ri li Thegtri. Haye, haye, haye !

LUClNDE. O?elle voix a frapp? mon oreille ?

THIBAUT. Ho, ho, ho! -

PERReTTE. Ah ! Madame, c’est la voix de notfe Marl Thibaut; nous via perdus.

LUCINDE. Courons promptement nous cacher. ’

SCENE IV.

LUCINDE, P?RRETTE, BERTRAND, THIBAUT.

B?ERTRAND. Ok courez-�ous? fuyez, fuyez de ce c6t?.

LUClNDE. Thlbaut, le Mari de P?rrette, vient par ici.

BERTRAND. Jossella, [e Gouverneur de notre petit Maitre, vient par

THIBAUT. Hola, quelqu’un, hola.

PIgRRETTE. Entends-tu ? c’est fait de nous, s’il nous trouve.

i. var.: ]? derinai clu premier coup ce que fa roi,1oit di- re... ?Iz mais! qu’entends-je