Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/375

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Sc b:tq E XII. 375 SCENE XII. JOSSELIN? LUCINDE? PERRETTE, LELIE. ._?gLig. Ah! mon chef Monsieur Josselin,, vous allez ?tre ravi. LUCINDg. Ah! Ciel ! JOSSELIN. O?e vois-ie ? tout est perdu. Ah ! vrayment, voici bien pis que la promenade. LELm. Je n'en avois'amais vfi; et ie le st;avois b?en, ram, qu II y avo?t dans le monde quelque chose qu'on ne me disoit pas. JOS?.LIN. Paix ! PE}{}{gTTg. O?'il a la mine rebarbative ! �? Joss?.htm Eh! d'oh diantre ces deux carognes 0) sont-elles venues ? LELm. Monsieur Josselin... JOSSELIN. Taisez-vous. PgRRIgTTIg. Comn, eil nous regardel . LUC?NDE. Le vilain homme que J0SS?.LtN. O?i VOUS a conduites ici, impudenies que vous &tes ? O?'y venez-vous fair e ? PgRRETTE. C'est pis qu'un Ioup-g?ou.. Lgt, Ig. Monsieur Josselin, ne les enaroucnez pas. JOSSEl. IN. Comment, petit fripon! vous osez .... O?'elles sont b?lles (z) ! - - LtlCIND. E. Si c'est un crime pour nous de nous trouver ici. il n'est has difficile d?le r&?arer, et notre dessein n'e?t pas d'�faire un long s? 6u'r. ' ' Jossshn?. Le beau vis.age qu'a celle-l&! (?) P?RRETTg. Je n'y serxons pas venues, si j'ussions crt? qu'on nous efit si real ?. Vat.: ces deux carognes-l?. 2. Vat. :jolies. 3. Vat.: celle-ci.